Ours droit du travail
Néanmoins, certains événements historiques ont marqué profondément l’attitude française à faire partie de la base de l’identité républicaine. Sans doute la France est un pays de ses droits de l’homme non pas parce qu’il respecte les droits de l’homme plus que d’autres pays (et les condamnations par la CEDH fréquents tendent à démontrer que) mais parce qu’il a construit une part importante d’identité sur les concepts de la révolution libérale, et que ces concepts ont trouvé un écho particulièrement fort à l’étranger.
L’histoire de la liberté est un processus long et paradoxal. S’étendant sur plus de deux siècles l’édifice des libertés expérimentés stades plus ou moins obscurs. Trois grandes étapes peuvent être identifiées avec ce qu’ils ont artificiels comme tout portrait historique. Première de toutes les libertés sont proclamées (I), mais restent assez largement théorique. Puis progresse libertés (II), notamment avec la Troisième République. Enfin libertés se renforcent (III) après la seconde guerre mondiale.
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Faits: Dans ce cas, une décision ministérielle du 5 Juillet, 2000, a reconnu l’Union nationale des caractères représentant judiciaire du plan national pour participer à la négociation collective qui touchent la profession d’huissier de justice.Maïs conformément à l’article 8 de l’ordre de 2 Novembre 1945 relative au statut des huissiers de justice, la Chambre nationale des huissiers de justice a compétence pour exercer les droits normalement accordés aux syndicats. Et l’article 10 de l’ordonnance prévoit que les huissiers de justice peuvent former ensemble des associations en vertu de la loi de 1901, mais ils ne peuvent en aucun cas s’étendre à des questions qui sont affectés à la Chambre nationale des huissiers de justice justice.Procédure: La Chambre nationale des huissiers de justice introduit donc une action pour abus de pouvoir devant le Tribunal administratif de Paris pour obtenir l’annulation de la décision ministérielle du 5 Juillet, 2000.Les annulation de la décision est obtenue, mais l’Union nationale des huissiers de justice et le ministre des Affaires sociales, du Travail et de la Solidarité interjètent appel. La Cour administrative d’appel rend une ordonnance confirmant. Les appelants ont alors former un recours devant le Conseil d’Etat. Problème de droit: Le Conseil d’Etat est compétent pour juger de la constitutionnalité de la loi ou plutôt de vérifier si elle est toujours en vigueur pour voir quelle norme doit l’emporter? Solution: La cour administrative d’appel a erré en droit et reconnaît l’abrogation implicite de lois incompatibles avec un texte plus tard:dans ce cas, l’ordonnance du 2 Novembre 1945 incompatible avec le paragraphe 6 du préambule de la Constitution de 1946, postérieure à l’ordonnance. Le Conseil d’Etat estime que la demande d’annulation de la décision attaquée est un motif légitime que le paragraphe 6 du préambule de la Constitution de 1946, une valeur constitutionnelle, qui prévoit que «Tout homme peut défendre ses droits et intérêts par l’action syndicale et adhérer au syndicat de leur choix », est incompatible avec l’article 10 de l’ordonnance du 2 Novembre 1945 et a donc été implicitement abrogé.Le Conseil d’Etat la compétence d’accepter dans ce cas et en particulier, l’abrogation implicite de la loi et affirme les critères et les arrangements spécifiques.
Faits: Mme X … a vécu en France depuis 1969 avec cinq enfants de nationalité française. Il est désormais dépourvue de la famille dans son pays d’origine. En 1998, elle a été condamnée à quatre ans d’emprisonnement par le tribunal correctionnel pour possession illégale de biens Toulon habituelle d’un crime, recel de biens volés provenant du trafic de drogue et de la non-justification de ressources par une personne en habituelle avec une personne engagée dans illégales l’activité en matière de stupéfiants. Une ordonnance d’expulsion a été rendue contre lui par un décret du 27 Juillet 2001.Procédure: Les différends que Mme X … arrêté et plaide devant le juge saisi de l’illégalité manifeste de la décision en ce qui concerne le droit à une vie familiale normale. Le juge de la Cour administrative Nice droit à sa demande et a suspendu l’exécution de son arrêté d’expulsion du 27 Juillet, 2001. Le Conseil d’Etat s’est déclaré compétent pour examiner d’autres moyens de Mme X … comparu devant le juge du tribunal administratif de Nice par l’effet dévolutif de l’appel. Problème de droit: les libertés fondamentales peuvent-elles prévalent sur les règles de sécurité et de la sécurité publique établie dans l’intérêt public? Dans ce cas, le problème est de savoir si le droit à une vie familiale normale ne peut prévaloir sur les faits reprochés à Mme X …. Solution: Le Conseil d’Etat estime, sur la base de l’ordre de 2 Novembre 1945 relative aux conditions d’entrée et de séjour des étrangers en France, que, compte tenu de la gravité des déclarations faites contre Mme X … Le ministre de l’Intérieur n’a pas commis une illégalité manifeste dans son appréciation de la nécessité urgente pour la sécurité publique expulser le requérant. En effet, les exigences sont strictes: l’administration aurait dû soulever une liberté grave et manifestement illégale en jeu (irrégularité caractérisée).Le Conseil d’Etat estime que le ministre de l’Intérieur a le droit de faire valoir que mal à la juge du tribunal de Nice a suspendu l’exécution de son décret du 27 Juillet 2001, la condition d’illégalité manifeste de la décision attaquée n’a pas été atteint.
‘Néanmoins, certains événements historiques ont marqué profondément l’attitude française à faire partie de la base de l’identité républicaine. Sans doute la France est un pays de ses droits de l’homme non pas parce qu’il respecte les droits de l’homme de plusieurs autres pays (et les condamnations fréquentes par la CEDH tendent à démontrer que) mais parce qu’il a construit une partie importante de son identité sur les concepts de la révolution libérale, et que ces concepts ont trouvé un écho particulièrement fort avec l’étranger.
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