Droit du net
Le contrat de travail est un contrat à exécution successive, sous réserve des contrats de droit commun. Il s’agit d’un accord réunissant au moins 2 personnes dans laquelle une personne offre une autre entreprise en vertu d’un subordonné et sous réserve de rémunération. L’application du droit commun des contrats conduit à écarter tout effet du contrat à l’égard des personnes qui n’ont pas consenti à sa conclusion. Mais le principe de la relativité des conventions, le droit du travail, des moyens de s’opposer à la poursuite de la relation de travail lorsque le salarié ou l’employeur disparaît ou est soumis à un changement de circonstances juridiques. Ce fait justifie l’existence de règles atypique dans ce cas regard.The de la disparition, et en particulier celui du changement d’employeur est une affaire qui a suscité beaucoup d’intérêt à l’Assemblée législative et a été beaucoup considéré par certains textes que le changement du statut juridique des l’employeur a effectivement un impact sur le contrat de travail de l’emploi, notamment quant à sa poursuite et son avenir.
L’objectif du législateur a toujours été d’assurer la stabilité de la relation de travail de l’employé et de l’emploi a continué.C’est pourquoi, lorsque le changement juridique de l’employeur, l’employé est accordée à la fois individuellement et collectivement un certain nombre de garanties. Ces garanties sont contenues principalement à l’article L. 122-12 du Code du travail dans le droit et la directive du 12 Mars 2001 à la législation communautaire.
Cet article L. 122-12 a été créé dans un but: faire en sorte que les employés subissent un changement de statut juridique de l’employeur, car elles sont principalement le «faible» du contrat de travail en raison de la précarité de leur position. L’article est bien au-delà du transfert des contrats de travail, il énumère une série de cas à partir de laquelle il est possible de déterminer où et quand nous avons affaire à un changement d’employeur. Parmi ces cas, nous trouvons, par exemple, la succession, la cession totale ou partielle d’externalisation, le cas particulier des fournisseurs, l’entreprise de transformation de la fusion. La jurisprudence a étendu le changement d’employeur en cas de cession de bail, location-gérance, de la faillite. une lecture de ces textes ne comprend pas la réalité de toutes les situations rencontrées dans la pratique et la position sur la question. Encore une fois, la jurisprudence de la Chambre sociale de la Cour de cassation a été une contribution considérable que celle de la CJCE.
Minded éléments de réflexion qui nous est donné, il convient de se demander dans quelle mesure de comprendre le droit du travail comme une loi protégeant les intérêts des travailleurs en cas de changement d’employeur? échéant, dans cette perspective, mener une étude avec la première ligne, faire une réflexion sur le désir de certains législateurs afin de maximiser les droits des salariés (I) et second axe, l’exploitation d’une question juridique en matière d’atténuation existantes en faveur de l’employeur (II) , cette question montre comment le droit du travail est un droit rationnel et un juste équilibre entre les parties contractantes à savoir, l’employé et l’employeur.
– Un contrat en cours dans les mêmes conditions: automatique des contrats de travail de transmission (droit d’opposition, droit d’exploiter l’article L. 122-12 CW). Le changement d’employeur ne porte pas atteinte en aucune façon l’exécution du contrat de travail et ses conditions.
-Le droit des employés à la priorité de réembauchage. La poursuite du contrat permet à l’employé de demander des prestations en vertu de son contrat individuel s’il est plus favorable que celles prévues par la convention éventuelle nouvelle est devenue applicable en raison du changement d’employeur. Le salarié conserve l’ancienneté, qualifications, la rémunération, mais aussi des clauses telles que clause de non concurrence ou de clause de mobilité.
– Le Bureau du Juge: Un contrôle clair des juges sur l’application de l’article L. 122-12: le législateur a voulu donner certaines garanties pour les salariés. entreprises de sécurité juridique maximisée en permettant aux juges de faire une vérification sur l’article pour voir si elle a effectivement n’a pas cherché à éviter la destitution. Il vérifie également si il n’y avait aucune incitation, collusion frauduleuse (cass soc 20/03/2002 Maldonado)
– L’article ne garantit pas security.On travail de l’employé de l’avenir du contrat de travail, il est clair que seuls les contrats sont soumis au titre de l’article. Cela exclue la négociation collective dès le départ. Cependant, la jurisprudence reconnaît le transfert d’utilisations. Nous admet rarement un droit à la réintégration de l’employé
– Mises à pied après le transfert (changement substantiel dans son contrat de travail peut être licencié pour raisons économiques avec l’avis d’achèvement.), Le licenciement avant le transfert (licenciement autorisée s’il ya une réelle et sérieuse, l’article L 122-12 ne s’y oppose pas).
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