Droit positif
Le droit positif est constitué de toutes les règles juridiques en vigueur dans un État ou un ensemble d’états de la communauté internationale, à un moment donné, quelle que soit leur source.
Il est une forme de positivisme juridique. Pour les théoriciens du droit positif, la loi ne vient pas de la nature ou Dieu, mais les hommes eux-mêmes, ou leurs activités. Le droit positif est un droit vivant. Il comprend deux grands courants de pensée. Positivisme légaliste est l’idée que le droit positif est dicté par les autorités politiques, et se tient sur ses propres. Pour lui, le droit et la justice, sont identifiés par le droit. Selon le positivisme sociologique, le droit positif est une expression de la société, il est un phénomène social doit être recherché de la société.
Le droit positif est fondé sur la théorie normative, développé par le théoricien Hans Kelsen au XX e siècle, la bonne structure de la hiérarchie des normes (ou de la pyramide des normes).
Le choix fondamental : idéalisme ou positivisme
De toute la riche histoire des idées sur le fondement et les finalités du droit, se dégage l’existence d’un choix assez fondamental entre deux courants, idéaliste et positiviste, comportant maintes variantes.
Le fondement du droit : Les tendances absolutistes
Les tendances absolutistes
L’École du droit naturel
Les obligations naturelles
Les obligations naturelles et la morale
Cas d’obligations naturelles
Effets des obligations naturelles
Les droits subjectifs
Les droits subjectifs sont les prérogatives on dit aussi les intérêts que le droit objectif consacre et sauvegarde au profit des sujets de droit, ce qui explique l’expression de droits subjectifs. Les sujets de droit sont essentiellement envisagés ici non pas comme des personnes soumises à un souverain, mais comme les supports des prérogatives reconnues et protégées par le système juridique.